FormData API | 12 Days of Web

Un petit résumé perso de cette page sur l'objet FormData en javascript.

Créer un objet FormData à partir d'un formulaire

let form = document.querySelector('form');
let data = new FormData(form);

Parcourir l'objet FormData

C'est un itérable, donc on le parcourt avec un for et on récupère des ['clé','valeur']

for (let entry of data) {
    console.log(entry);
}

ou

for (let [key, value] of data) {
    console.log(key);
    console.log(value);
}

parcourir les clés / les valeurs

for (let key of data.keys()) {
  console.log(key);
}

Get, set, update des valeurs

GET

Récupérer une valeur (sans rire ?!)

  • S'il y a un seul champ au nom de la clé: let title = data.get('title')
  • S'il y en a plusieurs : let titles = data.getAll('title');

SET

Ajouter une nouvelle valeur à l'objet FormData

data.set('date', '2022-12-25');

APPEND

Ajouter une valeur supplémentaire à une entrée existante (si l'entrée n'existe pas, elle est créée)

data.append('tags', 'vacations');

Divers

Tester si un champ existe

let hasID = data.has('id');

Récupérer un tableau

  • des clés : let arr = Array.from(data.keys());
  • des valeurs : let arr = Array.from(data.values());

Convertir un FormData en objet clés valeurs

Si votre FormData ne contient pas plusieurs champs ayant le même nom.

let serialized = Object.fromEntries(data);

Sinon, on paufine

let obj = {};
for (let [key, value] of data) {
    if (obj[key] !== undefined) {
        if (!Array.isArray(obj[key])) {
            obj[key] = [obj[key]];
        }
        obj[key].push(value);
    } else {
        obj[key] = value;
    }
}

Une fois converti en objet, on peut le transformer en JSON

let stringified = JSON.stringify(obj);

How To README · Matthias Ott – User Experience Designer

En résumé, pour un bon .README, il faut les paragraphes:

  • Nom et description
  • Installation
  • Configuration et usage
  • Déploiement
  • Testing (tests unitaires ? Lol)
  • Comment contribuer
  • Licence
  • Roadmap (modifs à venir)
  • Changelog (liste des versions et des apports de chacune)
  • Author(s) / Contributeurs.trices
  • ajouter un lien de démo
  • ET UNE FUCKING CAPTURE D'ÉCRAN !

Pour ma part, et comme un des commentateurs, je pense qu'il faudrait mettre le changelog dans un fichier séparé.

Via https://links.kalvn.net/shaare/YUH_nQ

LaserRGBL: dur mais bon.

introduction liminaire avant de commencer

Dans le monde merveilleux de la découpe et gravure laser, je débarque à peine, il me faut bien l'avouer... Toutefois, comme dans beaucoup de domaines dans lesquels le montant à investir au départ est inversement proportionnel aux difficultés que tu vas rencontrer dans l'utilisation de l'appareil. le bazard est ardu, en particulier quand on ne t'explique pas les trucs à la base.

Le choix du logiciel de gravure n'échappe bien entendu pas à cette règle: si tu veux que le bouzin fasse des trucs un peu tout seul ou sans trop de prise de tête, il faudra faire tomber 60€ pour acheter LightBurn, qui semble la référence en la matière.

Sinon, tu te tourneras vers la seconde référence: LaserGRBL. Il est gratuit et ça c'est bien. Mais il ne tourne nativement que sous windows et ça c'est pas bien.

Les plus assidus se rappellent du billet précédent dans lequel je fournissais deux façons de faire tourner ce logiciel sous linux ( https://warriordudimanche.net/article1800/sculpfun-s9-gravure-decoupe-laser-pas-trop-cher ) : la difficulté est moins de faire démarrer laserGRBL que de lui faire détecter la machine sous linux... ça semble possible, mais comme souvent pour les trucs peu répandus ou geekesques, sous linux, ça devient assez peu intuitif... et pour ma part, j'ai pas le temps.

Certains me diront sans doute: «mais pitin, y'en a plein, t'oublies Ci, t'oublies Mi...» oui,oui, ok... https://alternativeto.net/software/lightburn/

Mais ya un moment, il faut bien choisir.

Les captures sont celles de la version windows pour le travail sur l'affiche Harry Potter de l'article précédent, juste pour que vous compreniez ce que vous voyez (référence à https://www.youtube.com/watch?v=xJ2tOJhx2s4 )

alt

LaserGRBL

En ce qui concerne l'utilisation et l'aspect intuitif, LaserGRBL est à la gravure laser ce que vim est à l'édition de texte... voyez ?!

ça marche bien mais faut connaître...

Et pas lésiner sur   les antidépresseurs

Toutefois, avant de vous lancer, gardez en mémoire que l'alcool n'est pas la solution.

L'interface

Je vais pas vous faire une lecture des sous-menus - qui est au tuto ce que le tang est au jus d'orange - mais juste un survol des trucs à voir.

Le menu

1.png

Le menu principal est celui qui sera le plus utile: on y trouve le point de départ de toute réalisation: l'ouverture ou l'ajout d'un fichier (image ou gcode)

Connexion et nb de passes

3.png

La zone de gauche donne accès à un élément important (outre le bouton servant à connecter la graveuse): le nombre de passes. Contre toute attente, ce n'est pas un paramètre comme les autres, il n'est pas avec les réglages laser.

Rien ne vous dit d'ailleurs où ce trouve ce réglage en dehors du survol. Mais heureusement que ya Bronco pour vous sortir de la merde: c'est la petite case à côté de la barre progression qui dit combien de fois le travail doit être répété (sur l'image ya un «1», donc le travail ne sera fait... qu'une fois: bravo à toi dans le fond.).

Un petit label aurait été de bon aloi...

Et le petit triangle, là, encore à côté, c'est celui qui sert à lancer le processus de gravure/découpe...

visualisation du projet

A droite, vous retrouvez une représentation visuelle des éléments ajoutés (le résultat du Gcode généré): ils s'afficheront de la même façon qu'ils seront tracés sur la découpeuse.

4.png

Dans cette capture, trois fichiers ont été utilisés: le titre (découpe), la photo (gravure) et le sous texte (découpe)

Contrôle de la zone de gravure

5.png

Ces icônes s'avèrent utiles pour placer ou visualiser la zone sur laquelle la gravure va se faire. Ne serait-ce que pour vérifier qu'elle se fera à l'endroit du support où vous espérez...

  • Le bouton center place le laser au centre de la zone de gravure occupée par l'objet.
  • Le bouton corner déplace le laser dans le coin en bas à gauche de la zone de l'objet.
  • Le bouton frame fait le tour de la zone occupée par l'objet afin de vérifier s'il y a un débordement.
  • focus et blink servent à déclencher le laser à sa puissance minimale pour en visualiser le point d'impact exact.

Étapes de gravure/découpe

Avec ce logiciel, on passe toujours par les mêmes étapes:

  1. choisir un fichier (image dans un premier temps)
  2. importer le fichier : le convertir de façon à en avoir une version exploitable par le logiciel
  3. saisir les réglages de la découpeuse afin de produire le Gcode correspondant.

A chaque fois, vous passerez par ces étapes: pour tout changement de réglage, tout nouveau travail...

Voyons ce que ça donne avec le fichier de titre à découper

1. choisir le fichier

Il peut s'agir d'un fichier image ou d'un fichier Gcode. Ici nous choisirons un fichier image: hcoke.png

2.png

Les noms sont explicites,   je pense

2. importer le fichier

6.png

La fenêtre suivante sert à convertir l'image en fonction de ce qu'on veut obtenir. En gros, on peut choisir d'importer l'image telle qu'elle et de la convertir en lignes de dégradés de gris («tracé ligne par ligne» ou « pointillisme») ou alors de ne conserver que les bords extérieurs («vectorisation»).

Habituellement, pour la découpe, on se sert de la vectorisation.

3. Réglages du laser

7.png

C'est là qu'on va régler la puissance et la vitesse du laser. Mais avant tout, on choisit le mode du laser !

Notez bien ça paske c'est  SUPER IMPORTANT (et vous  allez l'oublier)
  • M3 -constant ➜ la puissance du laser restera celle indiquée dans le réglage tout au long du travail: c'est le mode utilisé pour la découpe.
  • M4 - variable ➜ la puissance du laser variera de zéro à celle indiquée dans le réglage en fonction de la nuance de gris à rendre: c'est le mode utilisé pour la gravure.

Ensuite vous pouvez spécifier la vitesse du laser en millimètres par minute et la puissance de 0 à 1000 (0% à 100%).

La rubrique du bas permet de spécifier la taille de la découpe et son décalage par rapport à l'origine 0,0 (en bas à gauche pour la S9 sauf si vous avez utilisé le bouton de LaserGRBL servant à fixer l'origine ailleurs). C'est là que vous décalerez les différents objets les uns par rapport aux autres dans les projets mêlant gravure et découpe)

Les plus observateurs d'entre-vous - ou ceux qui sont le plus habitués aux interfaces laconiques - auront remarqué le bouton en forme de livre. Un clic dessus vous donne accès à des préréglages selon une grande quantité de machines via la MaterialDB (mais pas la S9, j'ai du éditer la base via le menu GRBL>MaterialDB) :

8.png

Ici on prend les réglages pour découper du papier 100% / 800 mm/m / 1 passe en M3.

Une fois les réglages effectués on se retrouve devant l'écran principal où l'on n'a plus que le nombre de passes à préciser et un clic sur le bouton pour lancer le taf.

Pour la gravure

On passe par les mêmes étapes sauf qu'on choisit le mode M4:

  1. On choisit le mode tracé ligne par ligne (l'option qualité donne le nombre de lignes par millimètre... entre 5 et 10 s'avère pas trop mal mais j'ai peu testé.)

9 copie.webp

  1. On règle pour la gravure

10.png

Notez le M4 !

  1. on valide et on clique sur pour lancer.

Les trucs à se rappeler avant de se lancer

  1. vous allez faire des erreurs... beaucoup. Partez là-dessus et ne perdez pas votre enthousiasme... pour ma part, j'ai égaré le mien aux alentours de la huitième tentative avortée... plus moyen de foutre la main dessus. C'est l'entêtement qui a pris le relai du coup.
  2. vous pouvez mettre plusieurs «images» (cad plusieurs travaux de découpe/gravure) dans le même travail, il suffit de sélectionner ajouter un fichier au lieu de ouvrir un fichier. Par contre, en cas de changement de réglages, il faudra tout reprendre à zéro, depuis le premier document: c'est vite chiant, surtout quand on ajoute les soucis de placement à ceux des réglages du laser. Heureusement il y a le point numéro 3 (ouf)
  3. quand vous avez obtenu de haute lutte un GCODE dont les réglages fonctionnent, vous pouvez le sauvegarder comme fichier de travail: ainsi, sur une réalisation complexe avec des découpes des gravures etc, on peut faire le Gcode de chaque élément et les ajouter ensuite. On peut même sauvegarder le tout dans un nouveau fichier gcode (titre.gcode + photo.gcode + txt.gcode = total.gcode)
  4. M3 -constant ➜ découpe / M4 - variable ➜ gravure
  5. Ce tuto est un premier jet réalisé après deux jours en partant de zéro. Il s'agit de notes pour moi-même et pour le pauvre copain qui va se lancer comme moi au talent. C'est amené à évoluer avec les nouvelles tentatives, les prochaines erreurs, les commentaires d'aide que je recevrait et tout ça

Résumé en un diagramme (à actualiser)

Untitled Diagram(1).png

Je vous tiens au courant !

BronKOBOt (@bronkobot@botsin.space) - Faire un Bot Mastodon from scratch.

Tiens... et si je faisais un bot pour poster une citation par jour tirée des passages de romans que j'ai sélectionnés et stockés su ma Kobo ?!

C'est par ces mots que j'ai commencé à galérer... comme quoi, il suffit d'une idée à la con pour se lancer dans tout un merdier pourtant parfaitement facultatif ...

Le postulat de départ

Je veux qu'un BOT mastodon poste une citation de mes bookmarks de liseuse DONC il faut récupérer ces passages bookmarkés.

Donc, il faut trouver le fichier de base de donnée.

Puis il faut extraire les données intéressantes.

Puis utiliser ces données dans un BOT qui sera appelé une fois par jour.

Étape 1: trouver et comprendre les données sur la KoBo

En fouillant un peu, on trouve un fichier sqlite (JOIE) dont le chemin est .kobo/KoboReader.sqlite

Comment différencier la base de   livres des autres ?!    Ben elle pèse plus de 700mo...    C'est un signe.

Un passage par DBBrowser pour SQlite permet de jeter un oeil sur la structure des données.

Idéalement, il me faut deux informations: la citation et le titre du bouquin dont elle est extraite.

drame.jpeg

En fait les titres se trouvent dans la table content et les annotations dans la table Bookmark

deux tables

Je pourrais utiliser Calibre et chercher un moyen de faire un export complet de ces deux données uniquement. Pas sûr que ça marche. Ou alors faire un export via le DBexplorer pis me retaper le truc à chaque export...

Étape 2 : extraire les données et les préparer pour le Bot

En vieux programmeur qui bricole, je vois là un prétexte pour coder une petite appli en python qui se chargera de l'extraction.

Mon problème, c'est que je me sers des notes de la Kobo pour retenir des passages intéressants mais aussi, parfois, pour noter vite fait un mot de vocabulaire espagnol que je ne connaissais pas et dont je veux conserver la traduction. Mais ces mots de vocabulaire ne sont pas des citations: il faudrait donc les virer à la main à chaque fois. C'est chiant.

L'appli devra donc permettre de filtrer les citations avant de générer un fichier exploitable par le bot.

Pour faire court

J'ai fait l'appli en question: elle permet donc de récupérer les données, filtrer en fonction de la longueur de la citation ou du fait qu'elle est ou pas accompagnée d'une note personnelle...

Capture du 2022-12-03 15-57-22.png

On peut formater les données selon plusieurs modèles (HTML, Json, Markdown, TXT brut, BOT) voire même créer son propre format (genre %title:«%quote» )

Si ça intéresse quelqu'un,   contactez-moi vu que j'ai la  flemme de mettre ça là

Voilà le ZIP : Kobone : KOBO Note Extractor

Étape 3 : coder un bot en PHP afin de l'appeler par la suite avec un CRONJob.

Rien d'extraordinaire ici: je fais un script qui parse le fichier obtenu à l'étape précédente, tire une citation au hasard et la poste sur le compte Masto du Bot.

Le point le plus intéressant du bouzin est plutôt la fonction servant à poster sur un compte mastodon:


define('TOKEN','letokendesécuritéquetuchopesdansmastodon');
define('MASTODON_URL','https://botsin.space/'); // Ici, il faut coller l'url de votre serveur mastodon
define('HEADER',"Citation du jour:");
 function post2Mastodon($data=null){
        if (!$data){return false;}
        $headers = [
          'Authorization: Bearer '. TOKEN
        ];
        $data=[
            'status'=> HEADER.$data,
            'language'=>"fr",
            'visibility' => 'public'
        ];
        $ch_status = curl_init();
        curl_setopt($ch_status, CURLOPT_URL,  MASTODON_URL.'/api/v1/statuses');
        curl_setopt($ch_status, CURLOPT_POST, 1);
        curl_setopt($ch_status, CURLOPT_POSTFIELDS, $data);
        curl_setopt($ch_status, CURLOPT_RETURNTRANSFER, true);
        curl_setopt($ch_status, CURLOPT_HTTPHEADER, $headers);
        $output_status = json_decode(curl_exec($ch_status));
        curl_close ($ch_status);
        return $output_status;
    }

Étape 4: Créer une appli Mastodon pour avoir un jeton d'utilisation

Aller sur le compte mastodon en question, puis dans les préférences.

Cliquer sur «developpement» puis «Nouvelle application».

Remplir le formulaire simplissime puis valider. Cliquez ensuite sur le nom de votre application dans la nouvelle page et copiez votre jeton d’accès. C'est celui-ci qu'il faut coller dans le script PHP (dans la constante TOKEN)

Étape 5 : Définir un Cronjob

Direction le panneau de config de votre hébergement, rubrique cronjob. Sur Cpanel c'est là :

Capture du 2022-12-03 16-11-42.png

Définissez la fréquence (pour moi une fois par jour) et l'heure (8:00).

Ensuite, il faut définir la commande qui va appeler le script du BOT: wget fera l'affaire...

wget -qO /dev/null http://xxxxxxxxxxx.xx/index.php

L'option -q pour quiet et -O /dev/null pour éviter d'avoir un fichier de sortie qui se crée à la racine.

Capture du 2022-12-04 11-10-50.png

Fin

Une fois tout ça terminé, j'ai bien un bot qui poste une citation à 8:00 tous les jours.

capture du bot

Bon, elles ne seront pas toujours bien formatées vu que la sélection de texte sur liseuse c'est un peu touchy... mais c'était plus pour apprendre à le faire qu'autre chose...

Pis ça m'a permis de me  remettre à Python...

https://botsin.space/@bronkobot

Installer Linux Mint sur un ACER Aspire ES17 ES1-732

Via un commentaire sur WDD:

  • 01 Pourquoi l'installation est KO
  • 02 Configuration du BIOS
  • 03 Configuration du BOOT avant
  • 04 Installer Linux Mint
  • 05 grub option acpi
  • 06 Réparer grub sans reboot
  • 07 Réparer grub avec reboot
  • 08 Terminer l'installation
  • 09 Ajouter Windows dans grub
  • 10 Configuration du BOOT après
  • 11 Mise à jour de Linux grub
  • 12 Mise à jour de Windows
  • 13 Divers commandes de grub
    Via https://warriordudimanche.net/article1111/5dac319388f1d#c1111-14

[GUIDE] List of bloatware on EMUI safe to remove | XDA Forums

Toutes les merdes que vous pouvez virer de votre Android. (et les trucs à pas virer )

Je débloate le p8lite de mon épouse vu que sur 16go, le système et les applis prennent...15.7go environ

Et pas possible de rooter vu que le fastboot est intouchable à cause de la politique de «saycuritay» de Huawei. Les bâtards refusent de filer le code de déblocage du fastboot depuis 2018.

Tu as acheté un appareil mais tu peux pas en faire ce que tu veux.

Pire, ils le bloatent à mort comme ça, quand tu peux plus l'utiliser parce qu'il est plein ben t'en achètes un autre.

Sauf que les couillons de chez huawei devraient se rappeler que dans ce cas, on N'ACHÈTE PLUS JAMAIS HUAWEI... Demandez à wiko

Bienvenue ! — Le Wiki d'Herminien

Un wiki à explorer... La page sur signal m'a convaincu.

  • Introduction : Pourquoi se protéger ?
  • Se protéger des G.A.F.A.M.
  • Protéger ses mails
  • Le cas des sms et des appels
  • Protéger ses documents
  • Protéger sa navigation sur internet
  • Le mot de passe
  • Quitter Facebook
  • Mes données ont-elles été piratées ? nouveau !
  • Se protéger des arnaques sur internet nouveau !
  • Ressources utiles

Advent of Code 2020 - 10 enseignements et bonnes pratiques en PHP

Un excellent article, très simple d'accès. Résumé pour mémoire mais je vous conseille d'aller lire le tout tant c'est clair et bien documenté:

1.Tout typer

... pour pouvoir compter sur le type des données

  • Les paramètres des fonctions function moncul(string $str) pour éviter de vérifier les paramètres puisqu'un type erroné provoquera une erreur
  • Les valeurs de retour des fonctions function moncul(string $str): int car en cas de retour d'un autre type, il y aura erreur. (pour les fonctions ne retournant rien, :void )
  • Les propriétés de classe : private int $mon_cul; pour qu'une erreur se déclenche en cas d'initialisation d'un type erroné.

2.Protéger ses classes par défaut

  • ajouter «final» à la déclaration de classe final class monCul(){ pour éviter tout héritage, même fortuit.
  • laisser ses propriétés en private par défaut
  • laisser ses méthodes en private par défaut jusqu'à ce qu'on ait besoin de les appeler de l'extérieur

3.Utiliser les comparaisons strictes

... pour éviter les confusions false/0 etc

4.Se passer des «if»

En utilisant l'opérateur ternaire condition ? valeur retournée si true : valeur retournée si false;

Pourquoi ? Parce que c'est plus court mais aussi parce qu'on peut placer la condition directement dans une assignation ou à la place d'un paramètre: $count += ($value === CONTROL_VALUE) ? 1 : 0;

Par contre, je trouve qu'on y perd BEAUCOUP en lisibilité et en organisation.

5.La fonction « sscanf »

Pour analyser une chaîne selon un format (et à la place d'un explode plus lourd). C'est l'inverse de printf(). ( https://www.php.net/manual/fr/function.sscanf.php )

6.L'inversion de valeurs en une ligne

et avec autant de valeurs qu'on veut

[$var1, $var2, $var3, $var4] = [$var4, $var3, $var2, $var1];

7. L’opérateur de décomposition « … »

$intersection = array_intersect(...$bigArray); au lieu de $intersection = array_intersect($bigArray[0], $bigArray[1], $bigArray[2]); // Etc.

8. Toujours ajouter un compteur de boucle pour sortir des while

Ça m'a rappelé un épisode de BigBang Theory dans lequel Sheldon est prisonnier d'une boucle dans son algorithme HowToMakeANewFriend... (c'est Howard qui l'en sort en implémentant un compteur comme condition de sortie).

$block++;
    if ($block > 1000) {
        break;
    }

9.Utiliser les fonctions liées aux tableaux

Je plussoie vigoureusement ce point particulier

Avant de se lancer dans un traitement de tableau en créant une fonction ou une méthode exprès, relisez la doc de toutes les fonctions commençant par Array_ ... histoire de ne pas réinventer la roue.

joebarteam6p43.jpg

10.Manipuler les tableaux avec les callbacks et les Collections

Pour manipuler un tableau, penser à utiliser array_map plutôt que foreach si c'est possible:

  • utilisation simple array_map('trim',$tableau)
  • fonction anonyme ```array_map(function($k){ code de traitement },$tableau);
  • avec une méthode array_map(array($instance, 'methode'), $tableau)

L’homme qui hululait à l’oreille des formulaires – 24 jours de web

En résumé

  • Contrôler la validité des champs avec trop d’enthousiasme : difficile de prendre en compte les spécificités de tout le monde...
  • Abuser de la validation côté client : éviter les situations bloquantes.
  • Imposer des contraintes fantaisistes sur les mots de passe : privilégier la longueur des mots de passe plutôt que leur complexité.
  • Obliger l’internaute à nettoyer lui-même ses données : privilégier le nettoyage côté serveur avant stockage.
  • Confondre les attributs labels et placeholder : label = nom du champ, placeholder = exemple de saisie
  • Recueillir des informations non-conformes : Moins on recueille d’informations sur l’utilisateur, mieux tout le monde se porte.
  • Obliger à utiliser la souris pour saisir des mots de passe
  • Ré-inventer des composants de formulaire : accessibilité ? compatibilité ? javascript bloqué ?
  • Reporter la complexité du processus sur l’utilisateur·ice : ex, les mini formulaires enchainés. Solution: proposer une alternative
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