Tu prendras bien une crêpe à la vie privée ? – Inside My Head
Rien à ajouter...
Rien à ajouter...
Toujours aussi bon, je copie-colle là pour le ressortir (j'ai une liste de clients potentiels)
Lors d’une de ses émissions, une célèbre animatrice radio états-unienne fit remarquer que l’homosexualité est une perversion. « C’est ce que dit la Bible dans le livre du Lévitique, chapitre 18, verset 22 : « Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme : ce serait une abomination ». La Bible le dit. Un point c’est tout », affirma-t-elle.
Quelques jours plus tard, un auditeur lui adressa une lettre ouverte qui disait :
« Merci de mettre autant de ferveur à éduquer les gens à la Loi de Dieu. J’apprends beaucoup à l’écoute de votre programme et j’essaie d’en faire profiter tout le monde. Mais j’aurais besoin de conseils quant à d’autres lois bibliques.
Par exemple, je souhaiterais vendre ma fille comme servante, tel que c’est indiqué dans le livre de l’Exode, chapitre 21, verset 7. A votre avis, quel serait le meilleur prix ?
Le Lévitique aussi, chapitre 25, verset 44, enseigne que je peux posséder des esclaves, hommes ou femmes, à condition qu’ils soient achetés dans des nations voisines. Un ami affirme que ceci est applicable aux mexicains, mais pas aux canadiens. Pourriez-vous m’éclairer sur ce point ? Pourquoi est-ce que je ne peux pas posséder des esclaves canadiens ?
J’ai un voisin qui tient à travailler le samedi. L’Exode, chapitre 35, verset 2, dit clairement qu’il doit être condamné à mort. Je suis obligé de le tuer moi-même ? Pourriez-vous me soulager de cette question gênante d’une quelconque manière ?
Autre chose : le Lévitique, chapitre 21, verset 18, dit qu’on ne peut pas s’approcher de l’autel de Dieu si on a des problèmes de vue. J’ai besoin de lunettes pour lire. Mon acuité visuelle doit-elle être de 100% ? Serait-il possible de revoir cette exigence à la baisse ?
Un de mes amis pense que même si c’est abominable de manger des fruits de mer (Lévitique 11:10), l’homosexualité est encore plus abominable. Je ne suis pas d’accord. Pouvez-vous régler notre différend ?
La plupart de mes amis de sexe masculin se font couper les cheveux, y compris autour des tempes, alors que c’est expressément interdit par Le Lévitique (19:27). Comment doivent-ils mourir ?
Je sais que l’on ne me permet aucun contact avec une femme tant qu’elle est dans sa période de règles (Levitique. 15:19-24). Le problème est : comment le dire ? J’ai essayé de demander, mais la plupart des femmes s’en offusquent…
Quand je brûle un taureau sur l’autel du sacrifice, je sais que l’odeur qui se dégage est apaisante pour le Seigneur (Levitique. 1:9). Le problème, c’est mes voisins : ils trouvent que cette odeur n’est pas apaisante pour eux. Dois-je les châtier en les frappant ?
Un dernier conseil. Mon oncle ne respecte pas ce que dit le Lévitique, chapitre 19, verset 19, en plantant deux types de culture différents dans le même champ, de même que sa femme qui porte des vêtements faits de différents tissus, coton et polyester. De plus, il passe ses journées à médire et à blasphémer. Est-il nécessaire d’aller jusqu’au bout de la procédure embarrassante de réunir tous les habitants du village pour lapider mon oncle et ma tante, comme le prescrit le Lévitique, chapitre 24, versets 10 à 16 ? On ne pourrait pas plutôt les brûler vifs au cours d’une simple réunion familiale privée, comme ça se fait avec ceux qui dorment avec des parents proches, tel qu’il est indiqué dans le livre sacré, chapitre 20, verset 14 ?
Je sais que vous avez étudié à fond tous ces cas, aussi ai-je confiance en votre aide.
Merci encore de nous rappeler que la loi de Dieu est éternelle et inaltérable.
Votre disciple dévoué et fan admiratif. »
Je suis d'accord sur l'ensemble. Le refus ne pouvant se faire à l'échelle du peuple que l'on cherche à diviser, il doit se faire à celle de chaque individu et dans son cercle d'influence directe: refuser d'utiliser les termes de la «novlangue» c'est déjà lutter.
« Les limites de ma langue sont les limites de mon monde »
Mercu pour cet excellent article qui mérite une large diffusion...
J'en ai fait un PDF à télécharger ici
Si vous faites du thé et que vous en proposez à quelqu’un qui accepte, il n’y a pas de problème.
Si vous proposez du thé à une personne qui n’est pas sûre de vouloir en prendre, il ne faut pas décider à sa place, ou la faire boire de force. En effet, le simple fait d’avoir fait cette tasse de thé ne vous donne pas le droit absolu de voir cette personne la boire.
Si la personne à qui vous proposez du thé répond « non, merci », alors, ne lui faites même pas de thé, ne lui faites pas boire du thé de force, ne l’engueulez pas parce qu’elle ne veut pas de thé !
Si quelqu’un accepte du thé, et refuse par la suite : vous serez bien sur embêté-e d’avoir fait du thé pour rien, mais personne n’est obligé de boire du thé s’il ou elle n’en a pas envie !
Via SammyFisher
@SammyFisher: Merci ! c'est exactement ça !
Le type cité dans l'article, patron d'une "PME industriellle" disait en substance "les apprentis, c'est nul, ils savent rien faire, l'école ne leur a rien appris, du coup nous on perd du temps à les former"
Mais purée de patates chaudes, n'est ce point précisément à ça que sert l'apprentissage ? Les apprentis ne coûtent rien aux entreprises, et elles voudraient en plus qu'ils/elles fassent le boulot à la place de leurs employée·e·s ? (ou plutôt : à la place d'embaucher des employée·e·s) ? Mais, triste sire à courte vue, si des gosses entrent en apprentissage, n'est ce pas justement pour apprendre quelque chose ? L'apprenti·e qui entre dans un salon de coiffure, dans une entreprise de plomberie ou dans un commerce, n'est ce pas justement pour que le patron -tout fier quand il s'agissait de toucher la thune et foutre un autocollant sur sa porte- lui apprenne son métier ?!?
Non ! Encore une fois, c'est l'école qui doit tout faire (éduquer vos gosses ET leur apprendre un métier) pendant que ceux dont c'est le rôle (les entreprises dans le cas qui nous concernent) ne font RIEN et se contentent de chouiner.
Et ça m'énerve d'autant plus que ça s'inscrit dans la droite ligne de cet immonde slogan du MEDEF ["Si l'école faisait son travail, j'aurais un travail"][1], affirmant crûment et sans ambages que, si des gens sont au chômdu, ce n'est pas la faute de leur boîte qui les a viré pour faire plaisir aux actionnaires, ni du banquier qui a refusé un prêt au patron de la PME, ni d'une mesure gouvernementale qui, par exemple, déciderait de diviser par 2 le prix auquel EDF rachète l'énergie éolienne, non, non, non, c'est juste la faute de l'école qui leur a mal appris les tables de multiplication et la liste des sous-préfectures de la Nouvelle Aquitaine et des Hauts-de-France.
BULLSHIT BULLSHIT BULLSHIT BULLSHIT BULLSHIT
Via SammyFisher
Qui aurait pu dire qu'on trouverait un bon résumé d'une situation politique complexe et grave dans un site comme Topito (classé dans la rubrique «conneries» de mon plugin de lecteur RSS) ?!
Résumé:
Finalement, la réaction de Madrid à la demande de la Catalogne me semble disproportionnée et contre productive:
Super... comportement suspect ? -> obligation de dévoiler TOUS TES IDENTIFIANTS !!! TOUS !!!
"Un seul identifiant oublié, trois ans de prison et 45 000 euros d'amende"
Aïe.
Je résume les contre arguments ici (copicollage):
J'aime beaucoup ce billet, merci JCFrog !
Mais arguer de l’honnêteté de la majorité des employeurs pour par exemple casser le droit du travail est pour moi un non sens. On entend plus que cette chansonnette “il faut faire confiance” dans la bouche de nos gouvernants dirigeants. Il ne peut être question de confiance dans ces affaires. La loi est entre autre là pour protéger du pire. Cette position c’est pour moi comme vouloir adoucir la législation sur le crime organisé au prétexte que la plupart des citoyens sont honnêtes. C’est irresponsable.
Via Mastodon
... cette année, la fortune de Liliane Bettencourt s’élevait à 35,8 milliards d'euros.
Ses revenus lui permettait de gagner en 19 minutes le salaire annuel moyen des Français.
Quand la plupart de nos concitoyens s'éteignent, c'est après avoir vécu avec une pension faible (Les retraités français reçoivent en moyenne 1.376 euros brut par mois) voire misérable (10% des retraités vivent sous le seuil de pauvreté). Dans de nombreux cas, c'est leur travail qui les a tués. Les ouvriers exposés à l'amiante, les agriculteurs aux pesticides, n'ont même pas pu bénéficier du repos que la société leur devait. Ils ne laissent souvent pas grand chose à leurs enfants, et la plupart des jeunes Français ne peuvent compter que sur eux pour accumuler de quoi vivre correctement.
- Un cinquième de la fortune de Madame Bettencourt suffirait à résorber le déficit de la sécurité et de nous permettre d'avoir un système de santé digne de ce nom.
- le gouvernement estime pouvoir économiser 1 milliards grâce à la baisse de 5€ d'APL. Ces 5€ constituent pourtant une somme non négligeable pour des gens qui sont le plus souvent pauvres et précaires [...] pourquoi ne pas prendre un 35ème de la fortune de Madame Bettencourt pour éviter d'avoir à ponctionner les Français qui sont dans le besoin ?
- [les français] sont désormais 5 millions à vivre avec moins de 846€ par mois pour se nourrir, se loger, se vêtir, se soigner. Si on répartissait la fortune de Liliane Bettencourt entre tous ces gens, ils empocheraient chacun 7160€ et leur vie changerait.
Liliane Bettencourt avait hérité de sa fortune. [...] Ses héritiers vont maintenant prendre sa suite. Ils n'ont rien fait pour ça. Aucune religion, aucune morale, aucun système philosophique ne justifient sur terre la possession d'une telle somme.
Dis donc, je ne suis pas seul à gueuler contre la fortune des supernantis...
Quand j'entends Macron dire que les jeunes doivent rêver de devenir milliardaires, ça m'énerve. Hé, Macron, ce n'est pas le travail personnel qui forge les fortunes, c'est l'égoïsme et le manque de morale.
Et moi, je n'ai pas envie d'une société où tout le monde est égoïste et ne pense qu'au flouze. Toi, tu en as envie, mon petit Macron, d'une part parce que tes valeurs sont toutes orientées vers l'argent à un point qu'il ne te vient même pas à l'esprit qu'une autre vision de la vie existe et d'autre part parce qu'une société basée sur l'égo en général et sur l'égoïsme en particulier est une société divisée dont les citoyens ne songent même pas à se regrouper autour de luttes communes...
Toutefois, mon petit Macron, tu n'as pas complètement tort quand tu dis que l'argent se gagne par le travail... en effet, l'argent des uns se gagne par le travail des autres.
Quand un de tes copains fait fortune, c'est en privant ses employés d'augmentations légitimes ou d'améliorations de leurs conditions de travail (quand évidemment, il n'a pas tout bêtement hérité de sa fortune: lorsque la Bétencourt nous fait la morale en disant qu'elle a travaillé pour obtenir son argent, j'ai envie de lui mettre le nez à gauche des yeux...)
Il y avait une époque où le salaire du patron était (un peu) justifié par le fait qu'il portait toute la responsabilité de l'entreprise. Mais aujourd'hui, même le patron qui coule la boîte se gave comme un gros porc en partant. En plus, quand il y a des problèmes graves, il leur suffit de refuser de répondre aux questions et le tour est joué.
Non, petit bonhomme, ce n'est pas le travail qui forge la fortune, c'est l'égoïsme et l'absence de morale.
copie-collage
Sur beaucoup de téléphones récents, les applications vous proposent de "taguer" les visages des amis (Facebook, Google+). Certains fabricants (comme Samsung) propose également cela dans leur galerie photo, et incluent souvent aussi la possibilité de déverrouiller votre téléphone avec votre visage, ou encore de temporiser le verrouillage automatique de l'écran s'il l'appareil détecte votre visage en train de regarder l'écran (fonction SmartStay).
Pour cela, la plupart de ces applications utilisent un répertoire-cache contenant des miniatures des visages. Regardez donc à la racine du stockage de votre téléphone (pas sur la carte SD) si vous n'auriez pas un répertoire ".face": Ces fichiers sans extensions (d'environ 7 ko) sont en fait des .jpg. (Il vous suffit de les renommer en .jpg pour voir le contenu.)
A titre d'exemple, sur les téléphones Samsung, quelques minutes après avoir pris une photo (ou l'avoir simplement téléchargée d'internet), le téléphone va détecter les visages et en faire une copie dans ce répertoire. (Constaté sur un Samsung Galaxy S5 neo sous Android 6.0.1)
Là où ça deviant glauque, c'est que non seulement on ne sait pas trop ce qu'en font ces applications, mais même en les désactivant toutes (Déverrouillage par visage, fonction SmartStay, désactivation de la gallerie Samsung....) ces foutus fichiers continuent être créés. ((
Solution bourrin:
- supprimez le répertoire ".face"
- copier un fichier non vide à la racine et renommez-le en ".face"
Et voilà, le système ne pourra plus créer ce répertoire.
J'aurais aimé trouver une réponse officielle de Samsung (ou autre) sur ce répertoire... mais rien.
Est-ce que les informations de détection des visages quittent votre téléphone ? Je n'en sais rien.
Tout cela est probablement lié à l'API de détection des visage de Google: https://developer.android.com/reference/android/media/FaceDetector.html
Mainenant étant donné que Google a aussi accès à votre position géographique (dès le moment où GoogleMaps est installé sur votre téléphone, et même si vous ne l'utilisez pas), cela veut dire qu'ils sont capables de constituer une grosse base de données indiquant QUI était OÙ et QUAND. Tout cela de manière totalement automatisée, à partir du simple moment où vous appairaissez une photos, même en arrière-plan.
Je ne dis pas qu'ils le font, mais qu'ils ont tout ce qu'il faut pour le faire.
au lieu de parler de "sortie de l'état d'urgence", le ministre a évoqué la "sortie de l'Etat de droit". Un lapsus gênant, alors que le gouvernement est accusé de vouloir réduire les libertés publiques au profit de la sécurité.
Ben oui, dire la vérité, il n'a pas l'habitude...
Fumier.
autre sources: http://www.bfmtv.com/politique/sortir-de-l-etat-de-droit-le-lapsus-de-gerard-collomb-1255289.htmlVia @lertsenem
Toujours dans l'idée de me noter les Macronneries:
Une réforme en cache une autre, à un rythme soutenu, depuis le début de l’été. Dans l’ombre des ordonnances sur le code du travail, le gouvernement d’Édouard Philippe a annoncé pêle-mêle une petite révolution fiscale au bénéfice des plus fortunés (les 10 % les plus riches empochent 46 % du gain, selon l’Observatoire français des conjonctures économiques), un doublement du plafond de ressources pour les micro-entrepreneurs, qui accélérera l’« ubérisation », et la suppression partielle des contrats aidés.
Et cela va encore s’accentuer. Le budget 2018, qui sera dévoilé le 27 septembre, comportera une cure d’austérité jamais égalée : 20 milliards d’euros d’économies ciblant en priorité la santé, le logement et les transports. Et ce, pour pouvoir baisser les impôts de 10 milliards d’euros en un an. En particulier l’impôt sur les entreprises, réduit à 25 % des bénéfices, au diapason d’une tendance mondiale au moins-disant fiscal. Un plan de privatisation va également être engagé pour vendre les participations de l’État dans les dernières entreprises stratégiques où il en détenait encore. Et la Française des jeux, entreprise ô combien sensible, ne devrait pas échapper à cette grande braderie. Cette opération doit dégager quelques milliards pour financer un plan d’investissement dans « l’innovation », qui comblera les nombreux amis d’Emmanuel Macron dans la « french tech ».
Le gouvernement vient également d’annoncer un plan de relance du logement, qui doit faire la part belle à la spéculation immobilière en réduisant les normes écologiques et sociales (par exemple, l’accessibilité handicapés), afin de dynamiser la construction de logements à bas coût. Enfin, il devrait annoncer, le 28 septembre, une reprise en main de l’assurance-chômage adossée à un renforcement du flicage des demandeurs d’emploi. Une véritable révolution libérale !
On le croyait seulement gaffeur. On le découvre provocateur. La tirade athénienne d’Emmanuel Macron dénonçant « les fainéants, les cyniques et les extrêmes » en dit long sur la personnalité du jeune Président, qui semble décidément envahi par un sentiment de toute-puissance. Elle corrige rudement l’image valorisante, presque suave, qu’il s’était appliqué à donner de lui. Car le doute, cette fois, n’est plus permis. Lundi, veille de la journée de manifestation contre la loi travail, il a même enfoncé le clou, désavouant ses plus proches amis qui tentaient laborieusement d’atténuer les effets de cette sortie psychologiquement et politiquement désastreuse. Oui, les « fainéants », ce sont bien les opposants à ses réformes, les manifestants, les syndicalistes, les salariés… Une fainéantise « de classe » en quelque sorte. La paresse endémique de tous ceux qui osent défendre leurs intérêts de salariés, de retraités, d’étudiants…
Du coup, on relit avec d’autres yeux les « maladresses » précédentes, parfois suivies d’excuses. On se souvient des salariés de Gad qualifiés « d’illettrés ». On n’a pas oublié le « ayez envie de devenir milliardaires » à l’adresse des jeunes, version moderne du « enrichissez-vous » de Guizot ; ni la vie des entrepreneurs « plus dure que celle des ouvriers ». Ni non plus ce méchant conseil lancé à un syndicaliste qui arborait un T-shirt militant : « La meilleure façon de se payer un costume, c’est de travailler ! » En vérité, Macron, c’est du brutal, comme aurait dit Michel Audiard.
[...]
Macron, « l’ultra-moderne », qui veut individualiser, numériser, ubériser, flexibiliser, tient finalement un langage d’Ancien Régime. Ou, à tout le moins, de cette bourgeoisie qui, grosso modo jusqu’à la guerre, dominait la France des idées, enracinée dans la certitude que l’injustice sociale n’était que l’appellation marxiste (ou « bolchevique ») de l’inégalité biologique. On lui trouverait presque quelque ressemblance avec Fillon, symbole de la vieille France rancie. Un militant syndical ou un défenseur du code du travail est un flemmard. Et il suffit, pour devenir milliardaire, de le vouloir vraiment.