C’est l’inversion des rôles où le bourreau (le « monstre », l’homme, pas du tout sacré, mais juste obscène) se place en victime, avec l’aide de ses ami.e.s. Comme toujours dans les affaires de violences sexistes et sexuelles à l’égard des femmes, la « présomption d’innocence » pour l’agresseur sonne comme une « présomption de mensonge » pour les femmes qui témoignent contre lui.

C'est tellement ça... Ce gros porc de Depardieu fait des dégâts partout où il va depuis 40 ans, tripote, viole, insulte, bave, tient des propos outrageux et insupportables, convoite des fillettes le tout impunément et sous le regard complaisant d'un monde répugnant. Pire, quand - ENFIN - il commence à avoir quelques emmerdements bien légitimes, une poignée d'«artistes» nauséabonds viennent cracher au visage des victimes pour défendre ce bourreau.

Quand cette ordure sera condamnée, j'espère qu'on entendra plus jamais parler de ces personnalités et qu'elles vont retourner à l'oubli dont elles n'auraient jamais dû sortir et qu'elles crèveront seules, dans leur coin, comme la bande de tâches insupportables qu'elles sont.

Merci aux 2500 personnes qui, par leur nombre écrasant, viennent contrebalancer l'insupportable complicité de ces prédatophiles, Macron en tête.

Que la justice fasse son travail. Mais nous devons également faire le nôtre. Celui de soutenir les victimes et de ne pas laisser tranquilles des agresseurs, des violeurs, des oppresseurs. Qu’ils ne puissent plus penser qu’ils peuvent agir en toute impunité, et parfois même en étant récompensés et glorifiés.

Amen !

P.S.: cher lecteur, si tu penses mettre un quelconque commentaire sous cet article pour «tempérer», «apporter de la nuance», défendre la «présomption d'innocence» ou quoi que ce soit qui minimise la culpabilité de cette ordure ou des gens qui prennent la parole pour le défendre, ne te fatigue pas: je n'ai aucune envie de te lire...