Dix ans après, Alexandre Astier raconte les coulisses de la fin de Kaamelott

Je pense qu'il est très important, surtout dans une époque comme aujourd'hui où il y a des idées de performance, de montrer aux enfants un héros qui se décourage. En tant qu'auteur, ça me plait. Arthur a peur de ne pas être un héros pour les enfants. Sauf que je montre aux enfants que le héros n'a pas envie de se montrer ainsi aux enfants. J'ai envie de faire dire aux enfants qui regardent Kaamelott qu'il a le droit d'être triste.

A propos des scènes de sexe, absentes de kaamelott:

C'est parce que je n'y crois pas. Je ne suis pas cet auteur-là. Je ne veux pas l'être. J'ai vu des scènes... notamment dans Rome. Ils ont une scène où ça fomente: "On va faire ça… Tu vas payer machin… On assassine bidule…" Et tout ça devient une scène de cul. Ils se disent la même chose que s'ils étaient autour d'une table et ils baisent. Pour moi, c'est tout l'inverse de ce qu'il faut faire. Les personnages qui disent ce qui arrange l'auteur, je le repère tout de suite, ça ne marche jamais. En plus de ça, je n'aime pas les scènes de sexe - et j'en ai fait…

est-ce que les faibles ont été protégés. On peut se demander ça pour tous les chefs de toutes les périodes. Je trouve que c'est une bonne ligne. C'est naïf, mais ce n'est pas si con que ça.

<3

Via http://liens.howtommy.net/?g_M-5g

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